Saint Jacques est l'un des tout premiers disciples à suivre Jésus, et il est un de ses plus proches. Il participe, avec Pierre et Jean, à des événements importants : la Transfiguration, l'agonie de Jésus au Mont des Oliviers. Ce même groupe de trois apôtres est le seul à le suivre lorsqu'il va ressusciter la fille du chef de la synagogue. Enfin Jacques est cité parmi les témoins de la troisième apparition de Jésus après sa mort, sur les bords du lac de Tibériade (épisode de la pêche miraculeuse rapporté par Saint Jean).
Saint Jacques est appelé le Majeur : cette épithète lui venant de sa qualité d'aîné, car il est le frère aîné de l'apôtre Jean, et tous deux sont surnommés Boanerges, c'est-à-dire « fils du tonnerre »
Construite au bord de l'ancienne voie romaine de Carhaix à Alet, la chapelle Saint Jacques Le Majeur de Saint Alban, en Bretagne, doit son origine aux templiers.
En 1307, à la destruction du Temple, elle revient au duc Jean III, qui y marque sa suzeraineté par des travaux ambitieux : la reconstruction du pignon droit ouest et l'édification d'un clocher porche, d'une fenêtre sud-ouest et d'une galerie extérieure au nord-ouest pour surveiller le passage des pèlerins. Mais la donation du Penthièvre par Jean III à son frère Guy de Bretagne, en 1317, interrompt les travaux. Délaissée par les seigneurs de Lamballe, la chapelle devient une pomme de discorde entre les seigneurs voisins : le baron de La Hunaudaye et le comte de La Marck, du domaine de Bien-Assis.
Saint Jacques est appelé le Majeur : cette épithète lui venant de sa qualité d'aîné, car il est le frère aîné de l'apôtre Jean, et tous deux sont surnommés Boanerges, c'est-à-dire « fils du tonnerre »
Construite au bord de l'ancienne voie romaine de Carhaix à Alet, la chapelle Saint Jacques Le Majeur de Saint Alban, en Bretagne, doit son origine aux templiers.
En 1307, à la destruction du Temple, elle revient au duc Jean III, qui y marque sa suzeraineté par des travaux ambitieux : la reconstruction du pignon droit ouest et l'édification d'un clocher porche, d'une fenêtre sud-ouest et d'une galerie extérieure au nord-ouest pour surveiller le passage des pèlerins. Mais la donation du Penthièvre par Jean III à son frère Guy de Bretagne, en 1317, interrompt les travaux. Délaissée par les seigneurs de Lamballe, la chapelle devient une pomme de discorde entre les seigneurs voisins : le baron de La Hunaudaye et le comte de La Marck, du domaine de Bien-Assis.
Au XVIe siècle, elle est entourée de constructions en bois qui servent d'abris aux pèlerins.