dimanche 28 août 2011

Epervier_version générique_HD



"L'Épervier" est une série de bande dessinée historique de Patrice Pellerin.
Premier cycle (tomes 1 à 6) : Le chevalier Yann de Kermeur, surnommé L'Épervier (« Ar Sparfell » en breton) est un corsaire du roi de France au XVIIIe siècle et ancien pirate. Accusé d'un crime qu'il n'a pas commis, il n'aura de cesse de faire éclater la vérité. En voulant élucider ce crime, il va se retrouver sur la piste d'un trésor mystérieux qui excite toutes les convoitises.
Historique
Patrice Pellerin, qui travaillait à la série Barbe-Rouge, imaginée par Victor Hubinon et Jean-Michel Charlier ne veut pas reprendre seul la série à la mort de ce dernier, en juillet 1989, et décide de créer une nouvelle série maritime. Installé avec sa famille dans la région brestoise au début des années 1990, il affirme que « la série est née de son envie d'utiliser de tels décors ». Les trois premiers albums se déroulent dans cet espace de quelques kilomètres carrés1. Il découvre dans un livre sur Brest l'existence d'un petit contrebandier local surnommé l'Épervier de Crozon. Le nom lui plaît. Il réutilise pour le premier album une histoire écrite pour Barbe Rouge. Éric, son fils adoptif devient Yann de Kermeur, Baba et Triple Patte respectivement Cha-Ka et Main de fer2. Comme le côté un peu bellâtre d'Éric ne lui plaisait pas trop, il a cherché à créer un personnage plus consistant, plus mystérieux, au passé assez violent. Les noms des personnages sont empruntés à sa propre famille : Kermellec, Pouliquen, De Penhoët. La documentation s'appuie sur les ouvrages de Jean Boudriot, spécialiste de l'histoire maritime du XVIIIe siècle, les documents et les maquettes du Musée national de la Marine."
A suivre … source Wikipédia.
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En 6 épisodes de 52 minutes, France 3 présente une adaptation de la bande-dessinée de Patrice Pellerin, avec Aurélien Wiik et Fanny Valette entre autre. La série TV a été tournée notamment en Côtes d’Armor sur le site du Fort La Latte et dans le Finistère à Locronan, l’un des plus beaux villages de France.

mardi 23 août 2011

Stonehenge - Mystères et Révélations

 
Vidéo également visible en HD sur MG Royaume

Le mystère plane sur le site de Stonehenge, la plus grande structure néolithique d'Europe encore debout. Elle a été construite en plusieurs étapes sur une période de plusieurs siècles. Était ce un temple dédié au soleil ou à la lune, un calendrier astronomique ou un sanctuaire voué au culte des morts ? Cet endroit intrigue et fascine les hommes depuis des centaines d'années. En 2008, les pierres levées de Stonehenge ont livré certains de leurs secrets. Il reste encore beaucoup à découvrir sur ce site de 4000 ans d'existence créé à l'époque même où étaient construites les pyramides du plateau de Guizèh. Certains archéologues ont dédié leur vie à l'étude de cet endroit si particulier afin de découvrir ce qu'il pouvait signifier pour ceux qui l'ont imaginé et construit. De récentes découvertes montrent que Stonehenge pouvait être un endroit ou l'on soignait les blessés et les malades, une sorte de Lourdes préhistorique grâce au « pouvoir » des pierres bleues plantées au centre du cercle « magique ». Tout n'est pas fini. Stonehenge garde encore enfoui certains secrets. D'autres chercheurs tenteront encore de découvrir ce qui se cache derrière ces pierres dressées.... La quête continue

lundi 22 août 2011

22 août 1485 La guerre des Deux-Roses prend fin à Bosworth


Le 22 août 1485, le roi d'Angleterre Richard III trouve la mort à la bataille de Bosworth. Son vainqueur devient roi d'Angleterre sous le nom d'Henry VII Tudor.
Il met fin à la «guerre des Deux-Roses» qui avait endeuillé le pays et saigné la noblesse pendant 30 ans.
La guerre des Deux-Roses
La guerre des Deux-Roses désigne trois décennies de troubles qui ont endeuillé l'Angleterre de 1455 à 1485. Elle est due à l'épuisement du pays au terme de la guerre de Cent Ans et à la folie du roi Henri VI. Elle a quelque ressemblance avec les trois décennies de malheurs provoquées en France par la folie du roi Charles VI, lequel était d'ailleurs le grand-père du roi anglais.

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dimanche 21 août 2011

L'Italie Historique et envoûtante - Vidéo MG Royaume sur You Tube en HD



Vidéo également visible en HD sur "MG Decouvertes"  
L'Italie : 2500 ans de l'histoire de la civilisation occidentale. Pays contrasté aux multiples visages. Terre d'histoire, d'art, de carnaval, d'amour, de la mode ou encore du romantisme...
Autant de palettes à découvrir en survolant Sienne avec le Palio (course dont les origines remontent au moyen âge), Venise avec son irrésistible attrait amoureux, Rome la capitale, le Vatican (mystérieux), Milan (pour la mode) ou bien encore la Sicile...

Assassin's Creed - Lineage short movie 1

Synopsis

Quand le duc de Milan est sauvagement assassiné, Giovanni Auditore (le père d'Ezio, héros d'Assassin's Creed II), est chargé de mener l'enquête. Sa mission : trouver les coupables et en apprendre plus sur leurs motivations. Les réponses qu'il obtient impliquent les familles les plus puissantes d'Italie, et tout le ramène au Vatican. Dès lors, la vie de Giovanni, qui est sur le point de découvrir la vérité, est menacée. Il doit démasquer les conjurés avant de rejoindre la longue liste de leurs victimes. Ces événements se déroulent juste avant ceux d'Assassin's Creed II.

Florence, 1476. C'est le commencement d'une nouvelle époque pour l'Italie et sous l'influence de grands esprits, l'art, la culture et la science rayonnent : c'est la Renaissance.
Giovanni Auditore, un Assassin au service des Medicis, père d'Ezio Auditore (le héros du second jeu), tente de déjouer un complot ourdi contre l'un des alliés de son employeur, Laurent Le Magnifique. Son enquête le conduit à Milan, où il tente d'empêcher l'assassinat du Duc, mais il arrive trop tard lorsqu'il voit sous ses yeux, à travers la foule durant une messe, le meurtre. Giovanni et l'un des gardes du corps du duc arrivent à éliminer tous les traîtres. Giovanni a échoué, un puissant allié de Lorenzo est mort, mais Giovanni sait où livrer son prochain combat.

vendredi 19 août 2011

14 mai 1610 Ravaillac assassine Henri IV

Le 14 mai 1610, le roi de France Henri IV (56 ans) se rend auprès de son ami Sully, malade. Il n'arrivera pas à destination mais sera assassiné à la faveur d'un embarras de la circulation.
Sa mort marque le début d'un mythe national, celui du «bon roi Henri» qui a mis fin au guerres de religion et restauré la paix civile et la prospérité...
Un roi mal à l'aise
Usé par une vie pleine de rebondissements extraordinaires, le roi peut en ce début d'année 1610 regarder avec quelque satisfaction l'oeuvre accomplie. Mais lui-même souffre de sa mésentente avec la reine Marie de Médicis et de grands seigneurs lui tiennent rigueur de la paix conclue entre protestants et catholiques.
Et voilà que la situation internationale se corse avec un projet de guerre contre les souverains catholiques d'Espagne et d'Autriche, dont les troupes menacent les frontières du royaume.
Des prêtres manifestent leur opposition à ce qu'ils considèrent comme une nouvelle trahison du roi. Parmi leurs auditeurs, un jeune homme de 32 ans, né à Angoulême dans une famille pauvre et très pieuse. C'est un colosse à la barbe rousse, aux yeux clairs et profonds. Il a nom François Ravaillac.
En 1609, Ravaillac monte à Paris, à pied, pour éliminer celui qu'il considère comme un «tyran». Au passage, dans une auberge, il vole le couteau dont il se servira pour tuer le roi...
Complot ou acte isolé ?
Le 14 mai 1610, le roi quitte donc le Louvre pour rendre visite à son ami Sully dans sa résidence de l'Arsenal, à l'est de Paris.
Dans la matinée, le roi manifeste son agitation. Complots, prédictions de voyantes, tourments amoureux... «Mon Dieu, j'ai quelque chose là-dedans qui me trouble fort», murmure-t-il.
En début d'après-midi, il part enfin en carrosse, avec à ses côtés quelques compagnons dont le duc d'Épernon. Il n'a pas jugé nécessaire que la garde à cheval l'escorte. Voilà le carrosse bloqué, rue de la Ferronnerie, près des Halles et du cimetière des Saints-Innocents, par une charrette de foin qui barre la rue. Les valets qui se tiennent sur le marchepied du carrosse quittent celui-ci pour faire écarter la charrette.
Ravaillac, qui n'attendait que cela, se hisse sur un rayon de la roue. Passant le bras par-dessus le duc d'Épernon, il frappe le roi à la poitrine de plusieurs coups de couteau. Il est aussitôt maîtrisé et traîné dans un hôtel voisin puis à la prison de la Conciergerie. Trop tard. Henri IV meurt tandis que le carrosse rebrousse chemin jusqu'au Louvre.
Ravaillac est prestement jugé et, en tant que régicide, écartelé en place de Grève (l'actuelle place de l'Hôtel de ville), à Paris.
Source : Herodote.net

L'édit de Nantes

Le roi Henri IV signe le 30 avril 1598, à Nantes, un ensemble de textes connus dans l'Histoire sous le nom d'«Édit de Nantes».
Ce document met fin aux guerres de religion entre catholiques et protestants français. Il vise à «l'établissement d'une bonne paix et tranquille repos», selon les propres mots du roi, et promet une amnistie générale, autrement dit l'oubli de toutes les offenses (le mot amnistie dérive d'une racine grecque qui signifie oubli).
C'est la première fois qu'est officialisée dans un même État, en Europe, la coexistence de protestants et de catholiques.
L'Édit de Nantes exprime, dans la mémoire collective, la tolérance entre des confessions autrefois rivales et désormais prêtes à accepter la religion de l'adversaire...
Bien que solennellement déclaré «perpétuel et irrévocable» par Henri IV, il sera révoqué par son petit-fils, Louis XIV, moins d'un siècle plus tard, pour le plus grand dommage du royaume...

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