"Ce donjon fut construit entre 1369 et 1382, par le duc Jean IV de Bretagne afin d'avoir un contrôle sur la Rance à une période où la ville de Saint Malo était rebelle à son autorité. La tour a été bâtie sur un site déjà fortifié, la Tour d'Oreigle, aussi appelée Tour Aiquin et qui comprenait un petit châtelet, transformé en corps de garde du nouvel ensemble et une enceinte fortifiée, elle-même construite sur des fortifications gallo-romaines.
En 1588, les Malouins se sont emparés de la tour pour le compte du duc de Mercœur, chef de la Ligue de Bretagne. Elle était seulement gardée par cinq ou six hommes. Un capitaine y fut mis en place en 1590 avec trois soldats, une servante et deux chiens de guet. En 1636, Louis XIII ordonna d'y faire des réparations.
En 1694, la garde de la tour fut confiée aux habitants de Saint-Servan. Des graffitis sont encore lisibles sur les portes intérieures qui fermaient les cellules.
En 1588, les Malouins se sont emparés de la tour pour le compte du duc de Mercœur, chef de la Ligue de Bretagne. Elle était seulement gardée par cinq ou six hommes. Un capitaine y fut mis en place en 1590 avec trois soldats, une servante et deux chiens de guet. En 1636, Louis XIII ordonna d'y faire des réparations.
En 1694, la garde de la tour fut confiée aux habitants de Saint-Servan. Des graffitis sont encore lisibles sur les portes intérieures qui fermaient les cellules.
Musée International du "Long cours" et "Cap Horniers".
De nombreuses maquettes, des instruments de bords, des objets façonnés par les marins au cours de leurs traversées ou ramenés en souvenir d’escales lointaines vous permettront de rêver à ces voyages extraordinaires sur les magnifiques grands voiliers de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qui allaient charger le nitrate du Chili, le bois et le blé de Californie ou d’Australie, le nickel de Nouvelle-Calédonie...
Stèle offerte par la République d'Islande en hommage au Commandant Charcot et à l'équipage du "Pourquoi Pas" disparus en mer
le 16 septembre 1936
Le Gardien de la Tour
Un magnifique billet illustré et documenté, bravo !
RépondreSupprimerBisous.
Lylou